•  Íñigo López de Loyola, francisé en Ignace de Loyola (né le 24 décembre 1491[note 1] à Azpeitia dans le Pays basque espagnol et mort le 31 juillet 1556 à Rome) est le fondateur et le premier Supérieur général de la Compagnie de Jésus — en latin abrégé SJ pour Societas Jesu — congrégation catholique reconnue par le pape Paul III en 1540 et qui prit une importance considérable dans la réaction de l'Église catholique romaine aux XVIe et XVIIe siècles, face à l'ébranlement causé par la Réforme protestante

     est né dans le château de Loyola dans la commune d'Azpeitia, à 25 kilomètres au sud-ouest de Donostia-San Sebastián dans la province du Guipuscoa, au Pays basque (Espagne). Son nom, Iñigo, vient de Saint Enecus (Innicus), père-abbé d'Oña; le nom Ignatius fut pris plus tard lorsqu'il résidait à Rome[1].

     

    Dernier né d'une fratrie de 13 enfants, Ignace grandit au sein d'une famille de la petite noblesse basque, alliée traditionnelle de la maison de Castille. Il a seulement 7 ans quand sa mère, Marina Sáenz de Licona y Balda, meurt et il noue une relation forte avec son père, don Beltrán Yáñez de Oñaz y Loyola. Il connaît l'éducation du grand siècle espagnol qui éclot en cette fin du XVe siècle.

    Orphelin de père à quinze ans, Ignace quitte Loyola et devient page à la cour de Ferdinand d'Aragon en 1506 puis, devenu gentilhomme adulte, il exerce la fonction de secrétaire au service d'un parent de sa mère, Juan Velázquez de Cuéllar, trésorier général (contador mayor) de la Reine de Castille, Isabelle la Catholique. Il mène pendant dix ans une vie de Cour, comme il le dit dans son Autobiographie : Jusqu'à la vingt-sixième année de sa vie, il fut un homme adonné aux vanités du monde et principalement il se délectait dans l'exercice des armes. Il se lie avec la princesse Catalina, sœur de Charles Quint, séquestrée par sa mère Jeanne la Folle à Tordesillas

     maison d ignace de loyola

     

     

    piece ou est né ignace de loyola

     

     

     

    maison d Ignace de Loyola en Espagne   a Loyola

     

     


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    chemin de fer de la RHUNE

    A 10 kilomètres de Saint Jean de Luz, cet authentique train à crémaillère de collection datant de 1924 vous amène, à 905 mètres d'altitude, sur le sommet mythique du Pays basque, qui domine à perte de vue, les côtes françaises et espagnoles ainsi que la chaîne des Pyrénées.

    35 minutes d'ascension à 9km/h au cœur d’une nature sauvage, découvrez les Pottok, robustes petits poneys basques vivant en totale liberté, les brebis manech et les vautours fauves, rapaces emblématiques de la chaîne pyrénéenne. 

     

    pottoks

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     Le panorama au sommet offre une vue dégagée sur les territoires environnants de la Basse-Navarre, de la Navarre, du Guipuscoa, et de la côte Basque bordée par le golfe de Gascogne (océan Atlantique) depuis Saint-Sébastien jusqu'à l'embouchure du fleuve Adour et aux Landes

     

     
    C'est l'Impératrice Eugénie qui y lança la mode de l'excursion. La Rhune se découvre à pied ou bien en train.

    Depuis 1924, le petit train à crémaillère de la Rhune monte au sommet en partant du col de Saint-Ignace. Tout là-haut se trouvent des "ventas", petits commerces situés sur la frontière franco-espagnole.

     


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